Chronique Concert 24: Lion's Law, Skinny Lister, Slapshot, Dropkick Murphys, Zénith de Paris le 28/01/2017

Bonjour et bienvenue pour une nouvelle chonique concert qui portera aujourd’hui sur la venue des Dropkick Murphys au Zénith de Paris le 28 janvier 2017.

 

Le concert commença par le set de 30 minutes des fameux punks Lion’s Law déjà venus il y a deux ans assurer le première partie. J’ai pu donc reconnaitre certaines musiques jouées par le groupe. Ce dernier était bien motivé devant un Zénith à peine rempli qui n’hésita pas à faire quelques pogos et crier quand il fallait. Le chanteur d’ailleurs profita d’une petite pause pour pousser son coup de gueule par rapport à la dernière fois où les stocks de bière avaient été épuisés bien avant l’arrivée des Dropkick et espère que le Zénith a prévu plus gros cette fois-ci ; ce qui semble s’être passé au bonheur de tous.

Le groupe suivant que je ne connaissais pas du tout est Skinny Lister. Un groupe de rock celtique venu tout droit d’Angleterre. Un groupe ma foi fort énergique et festif qui a su se donner à fond. La chanteuse n’hésita pas à donner à la fosse son bichet (symbole du groupe) rempli d’une boisson (ma foi fort mystérieuse) avant de le récupérer en slamant et revenir sur scène avec le récipient ma foi bel et bien vide.

Alors là on change complétement de registre avec Slapshot ; un groupe de punk hardcore qui est assez proche du crust punk. L’intro en annonçait beaucoup où l’on pouvait s’imaginer l’entrée de gladiateurs dans l’arène. Et elle fut bien raccord avec la suite des événements avec une guitare ultra saturée et une basse martelant le rythme le tout avec un chant crié bien violent. La fosse en ébullition ne put s’empêcher de ne pas attendre le lancement du wall of death pour se fritter en pogos bien survoltés. Le chanteur ne pu d’ailleurs pas s’empêcher de sauter dans la foule et de slamer brièvement. Bref avec tout ça le Zénith s’était rempli à ras-bord et était bien chaud pour accueillir les Dropkick !

Après l’habituelle 15 minutes de pause, le Zénith perdant patience ne put s’empêcher de lancer le fameux « Let’s Go Murphys ». On put entendre le groupe jouer quelques notes et parler derrière le rideau mais cela ne découragea pas les applaudissements de la salle. Put survint la fameuse intro qu’on avait pu entendre il y a 2 ans qui s’enchaina avec The Lonesome Boatman où le fameux jeu de lumière nous permit d’apercevoir le groupe jouant derrière le rideau qui finalement tomba devant une foule en délire ; normal c’est les Dropkick ! Après une bonne heure de show endiablé où régnait pogos, slams, jumps et quelques wall of death (et oui le chanteur voulait peut être plus de variété dans la fosse), le groupe se retira. Après de longues minutes de « Let’s Go Murphys », le groupe revint jouer avec une musique bien d’occasion The Boys Are Back puis la traditionnelle Kiss Me , I’m Shitfaced où les filles purent monter sur scène (et montrer leurs seins au public) pour être ensuite rejoint par les garçons sur Skinhead on The MBTA ; là il était difficile pour tout le monde d’apercevoir les membres du groupe cachés derrière la foule. Le concert se finit avec Until The Next Time un morceau sublime où les spectateurs sur scène ne pouvaient se retenir d’embrasser ou de câliner les membres du groupes avant de se recevoir une avalanche de cotillons. Le groupe d’ailleurs rentra tranquillement en backstage sur My Way de Sinatra sauf Ken Casey qui avait son petit fan club voulant le féliciter et le prendre en photo.

 

G.