Chronique 78: Emigrate, Silent So Long
Aujourd'hui une chronique proposée par un fan: Emigrate avec leur dernier album Silent so long sorti le 17 novembre chez Spinefarm Records. Emigrate est un projet du guitariste de Rammstein: Richard Z. Kruspe. C'est leur deuxième album sorti 7 ans après le premier.
Cet album réunit de nombreux invités de marque comme Lemmy Kilmister , Marilyn Manson, Jonathan Davis Official (chanteur de Korn) et bien d'autres encore.
Ma peur de l'inconnu devant cet album disparue dés le premier morceau avec Frank Dellé, intitulé Eat You Alive. Ce morceau plutôt hard rock avec des riffs assez sympa, le chant est juste énorme. L'ambiance sortant de ce morceau est juste magique, le clip l'illustre même très bien.
S'ensuit alors, Get Down avec Peaches, le chant trafiqué et l'instru donnent une ambiance assez électro au morceau. C'est vraiment la chanson "détente" de cet album qui explose en pur Rock pour les derniers couplets.
Arrive ensuite Rock City avec Lemmy (ou Dieu selon les personnes), qui est une chanson très speed métal, Lemmy nous enivre complétement dans ce morceau qui tourne vers le progressif.
Arrive la plus sombre, Hypothetical avec Marilyn Manson, les riffs simples font l'effet d'une bombe avec un morceau qui prend aux tripes avec un chant parfait.
La suivante, Rainbow est sans invité, on remarque une petite touche loufoque, qui m'a fait pensé à du Shaka Ponk par moment. Mais la mélodie est vraiment sympa.
S'ensuit Born on my Own, qui est pareil sans invité, qui transpire le métal industriel. Le rythme y est très entrainant.
On retrouve la même énergie dans la suivante Giving Up.
S'ensuit My Pleasure, un métal industriel plus heavy que les deux précédentes avec un rythme plus bourrin.
La suivante, Happy Times avec Margaux Bossieux, le rythme planant et le chant, nous transporte littéralement dans un univers sombre et intrigant.
Arrive Faust, la plus heavy de toutes, avec des riffs bourrins et un chant encore juste sublime. On remarque quelques touches électroniques propre au métal industriel.
La dernière, la piste éponyme de l'abum est chantée avec Jonathan Davis, le chanteur de Korn, moi qui adore sa voix je ne suis pas du tout déçu. Sa performance nous transporte comme à chaque fois. Le rythme de cette chanson est très doux jusqu'à exploser à chaque refrain.
Bon c'est la fin de cette chronique merci à Otus Lordi, de m'avoir fait découvrir ce magnifique album que j'ai mis un peu longtemps à chroniquer.
17/20
G.