Chronique 51: Testament, Low

Intro:
Désolé pour mon inactivité, mais le site m'a pris beaucoup de temps et je n'ai pour l'instant pas le courage de commencer les traductions, donc voilà ma chronique:
Ah j'oubliais, ceci est la 51e chronique, merci de nous suivre...
Je vais faire comme notre ami #CDW, je mettrais maintenant les plus et les moins de chaque album à la fin de mes chroniques et merci à lui de publier du contenu pour compenser notre inactivité.

Pour bien commencer la rentrée, une chronique sur Testament avec leur sixième album Low sorti en 1994 chez Atlantic Records et Megaforce Records.
Pour ceux qui ne connaissent pas ces géants du Heavy Thrash métal, ils se sont formés en 1983, malgré quelques suites d'événements qui auraient pu être fatals à de nombreux groupes: certains avaient des cancers, la plupart des membres s'en vont à cause du manque de succès...

L'album commence par le titre éponyme où le début me fait penser à du Slipknot (qui se sont largement inspiré de cette intro à mon avis). Le début est un enchainements de riffs lourds et agressifs. Le chant de Chuck Billy est juste parfait, sa voix rauque colle parfaitement à du Thrash. On remarque une légère rupture au niveau du rythme avec un passage avec des guitares au son plus claires et un solo de guitare rafraichissant. L'album ne nous laisse même pas le temps de souffler dés que Low finit, Legions In Hidding commence brutalement avec un son encore plus violent..

Legions in Hidding est un déchainement de violence avec un rythme plus saccadé et plus rapide, les riffs sont plus claires et plus nerveux, le chant y est plus présent et offre un résultat sublime. On sent une légère inspiration du Death Metal, il y a encore au milieu du morceau, un solo de guitare.

Trail Of Tears, la quatrième, offre une pause à cet enchainement de Thrash, avec une mélodie beaucoup plus douce et claire, et plus de solos. La voix de Chuck y est beaucoup plus claire et le morceau est juste parfait avec ses racines beaucoup plus rock ou heavy que Thrash.

L'album se clôture avec Last Call, un morceau encore plus doux qui ressemble à une chanson d’au revoir, il n'y a aucun chant, les petits solos s'enchainent, la mélodie est assez linéaire.

Note: 17/20

Les plus:

-Un seul compositeur vachement doué: Eric Peterson.

-Les titres "expérimentaux" comme Trail Of Tears ou Dog Faced Gods

Les moins:

-Certains riffs se ressemblent, autant que certains morceaux musicalement


G.