Chronique 48: Symphony X: Iconoclast
29/08/2014 22:00
J’entame ma liste de chroniques express c’est-à-dire des chroniques un peu plus compactes et courtes qui sont tirées d’une rétrospective de l’année 2011 .
Symphony X : Iconoclast
Symphony X revient en 2011 avec un Paradise Lost 2 : Iconoclast . Bien entendus mis à part la ressemblance frappante dans l'orientation de l'album celui-ci ne parvient à aucun moment à égaler son prédécesseur , Symphony X nous livre un album en pilotage automatique sans grosse surprise et c'est vraiment dommage , on pourra reprocher à l'album ses longueurs notamment flagrantes sur "When all it Lost "neuf minutes et plus de la moitié de remplissage , idem pour "Heretic" avec le même riff répété en boucle , le title track et quand à lui assez décevant aussi , pas accrocheur pour un sous , long beaucoup trop long , la plupart des titres aurait gagnés en qualité et en intensité si ils avaient été plus concentrés .
Voilà pour les défauts et les reproches que je peux faire à ce disque l’impression trop compact, trop piloté et le manque d’alternance dans le chant .
Mais Symphony X paradoxalement a su imposer des riffs surpuissant et thrashisant à sa musique empêchant l’auditeur de trouver le répit et ce n’est pas le départ de « electric messiah » qui dira le contraire, alternant un petit refrain bien sentit avec du riff sec et dur, on se croirais chez Annihilator .
La puissance parlons en cet album n'en manque pas, c'est la marque de Symphony X , ce sont des progeux oui mais aussi des maîtres du riffs d'ailleurs c'est l'une des deux écoles du prog metal , d'un cotés on à le cotés Epique et Heavy de Symphony X et de l'autre le cotés Mélodique et Atmosphérique de Dream Theather et pour ma part j'ai choisis mon camp .
Il manque clairement ce petit plus qu'avait Paradise Lost cette touche mélancolique et épique , sur des titres comme "Revelation" , "Paradise Lost "ou "The Sacrifice ", de plus Allen est clairement sous employé ici , il se contente de brailler la plupart du temps dans un style purement heavy , alors ouais ça le fait mais c’est quand même franchement dommage qu’il n'utilise presque à aucun moment sa voix claire , je dirais même que c’est vraiment vraiment du gâchis .
Iconoclast contient néanmoins des titres de qualité ", Deshumanized" peut dérouter au début mais frappe fort : une vrais bombe; je pense aussi à l'irrésistible "End of Innocence" et son refrain entêtant, le morceau le plus "heavy " de l'album "Prometheus" lquant à lui ne déçois pas du tout comme "Children of the Faceless God " en fin d'album qui est une vrais petite perle.
La version déluxe contient trois titre qui sont assez bon, je dirais même plus largement plus convaincant que certain de la version classique on se souviendra notamment de "Reign of Madness" du Symphony X dans toute sa splendeur, puissant, convaincant et tortueux .
Pour conclure cette chronique on peut dire que les influence très thrash de Symphony X explose littéralement à l’oreille, misant sur un cotés dévastateur et compresseur le groupe à un peu perdu de sa splendeur, mais il reste quand même précieux notamment grâce aux jeux de guitare époustouflant et à une rythmique impressionnante.
Qu’on se le dise le groupe est plus Heavy que jamais, à la limite du pachydermique par moment, ce qui ne déplaira pas au fan de gros son comme moi, mais qui déroutera sans doute les progeux plus dans le cotés jazzy. On pourrait presque dire que le groupe à un peu sacrifié la mélodie aux dépend de la puissance.
Morceaux Favoris :
Deshumanized
Children of the faceless god
Prometheus
Morceaux Bof :
Heretic
Iconoclast ( dix minutes dont 5 de trop )
Les plus :
Bien produit dans l’ensemble
Des musiciens au top
Les moins
Le chant ( bon mais sous employé )
Le manque d’alternance
Note 3,5 / 5
J’entame ma liste de chroniques express c’est-à-dire des chroniques un peu plus compactes et courtes qui sont tirées d’une rétrospective de l’année 2011 .
Symphony X : Iconoclast
Symphony X revient en 2011 avec un Paradise Lost 2 : Iconoclast . Bien entendus mis à part la ressemblance frappante dans l'orientation de l'album celui-ci ne parvient à aucun moment à égaler son prédécesseur , Symphony X nous livre un album en pilotage automatique sans grosse surprise et c'est vraiment dommage , on pourra reprocher à l'album ses longueurs notamment flagrantes sur "When all it Lost "neuf minutes et plus de la moitié de remplissage , idem pour "Heretic" avec le même riff répété en boucle , le title track et quand à lui assez décevant aussi , pas accrocheur pour un sous , long beaucoup trop long , la plupart des titres aurait gagnés en qualité et en intensité si ils avaient été plus concentrés .
Voilà pour les défauts et les reproches que je peux faire à ce disque l’impression trop compact, trop piloté et le manque d’alternance dans le chant .
Mais Symphony X paradoxalement a su imposer des riffs surpuissant et thrashisant à sa musique empêchant l’auditeur de trouver le répit et ce n’est pas le départ de « electric messiah » qui dira le contraire, alternant un petit refrain bien sentit avec du riff sec et dur, on se croirais chez Annihilator .
La puissance parlons en cet album n'en manque pas, c'est la marque de Symphony X , ce sont des progeux oui mais aussi des maîtres du riffs d'ailleurs c'est l'une des deux écoles du prog metal , d'un cotés on à le cotés Epique et Heavy de Symphony X et de l'autre le cotés Mélodique et Atmosphérique de Dream Theather et pour ma part j'ai choisis mon camp .
Il manque clairement ce petit plus qu'avait Paradise Lost cette touche mélancolique et épique , sur des titres comme "Revelation" , "Paradise Lost "ou "The Sacrifice ", de plus Allen est clairement sous employé ici , il se contente de brailler la plupart du temps dans un style purement heavy , alors ouais ça le fait mais c’est quand même franchement dommage qu’il n'utilise presque à aucun moment sa voix claire , je dirais même que c’est vraiment vraiment du gâchis .
Iconoclast contient néanmoins des titres de qualité ", Deshumanized" peut dérouter au début mais frappe fort : une vrais bombe; je pense aussi à l'irrésistible "End of Innocence" et son refrain entêtant, le morceau le plus "heavy " de l'album "Prometheus" lquant à lui ne déçois pas du tout comme "Children of the Faceless God " en fin d'album qui est une vrais petite perle.
La version déluxe contient trois titre qui sont assez bon, je dirais même plus largement plus convaincant que certain de la version classique on se souviendra notamment de "Reign of Madness" du Symphony X dans toute sa splendeur, puissant, convaincant et tortueux .
Pour conclure cette chronique on peut dire que les influence très thrash de Symphony X explose littéralement à l’oreille, misant sur un cotés dévastateur et compresseur le groupe à un peu perdu de sa splendeur, mais il reste quand même précieux notamment grâce aux jeux de guitare époustouflant et à une rythmique impressionnante.
Qu’on se le dise le groupe est plus Heavy que jamais, à la limite du pachydermique par moment, ce qui ne déplaira pas au fan de gros son comme moi, mais qui déroutera sans doute les progeux plus dans le cotés jazzy. On pourrait presque dire que le groupe à un peu sacrifié la mélodie aux dépend de la puissance.
Morceaux Favoris :
Deshumanized
Children of the faceless god
Prometheus
Morceaux Bof :
Heretic
Iconoclast ( dix minutes dont 5 de trop )
Les plus :
Bien produit dans l’ensemble
Des musiciens au top
Les moins
Le chant ( bon mais sous employé )
Le manque d’alternance
Note 3,5 / 5
#CDW