Chronique 46: The Cult, Beyond Good and Evil

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Beyond Good and Evil est le septième album du groupe de rock anglais The Cult, il sort au label Atlantic Records en 2001. Pourquoi faire une chronique d’un album rock alors qu’on est sur une page de métal ? Tout simplement que l’album plutôt rock à des côtés assez heavy et que son batteur Matt Sorum revient après avoir été chez les Guns N’Roses.

L’album commence par War (The Process), celle-ci commence par une petite intro très rock pour enchainer avec une mélodie avec des riffs lourds et une basse omniprésente. Le chant de Ian Astbury fait quant à lui très rock. Ce premier titre annonce très bien l’ambiance de l’album très rock influencé par la musique des Guns.

Rise, la troisième, à des influences de rock psychédélique et de hard rock, ont y reconnaitrait certains riffs empruntés par la suite par The Winery Dogs et Shinedown (enfin ce n’est que mon avis). Sinon la mélodie forme un super hard rock psychédélique avec des riffs heavy.

American Gothic, elle, dégage une ambiance plus sombre que toutes les musiques de l’album, mais garde des petits côtés heavy très appréciables. La mélodie très progressive est un régal pour les oreilles, l’alternance entre la voix claire et celle trafiquée est juste parfaite.

True Believers, l’avant dernière, est beaucoup plus psychédélique avec des riffs plus léger et fait plus rock que les précédentes. Cette chanson est pour moi du vrai rock, une superbe mélodie, des belles paroles et une ambiance particulière qui nous fait accrocher.

Pour conclure, écouté cet album si vous êtes fan de métal progressif ou de hard rock. Je lui met donc la note de 16/20.

 

G.